5 jours a la plage
Pauvres nous, on avait pas vu la mer depuis presque 3 mois... Alors nous voila en pause pack-sack a Sihanoukville, toujours au Cambodge, nous baignant dans le golf de la Thailande!
Rien a dire sur ces 5 jours de repos sans itinéraire a planifier, sans hotel a réserver et sans temple ni musée a visiter... Rien a dire mais tout de meme quelques photos a vous montrer entre deux vagues et un souper de fruits de mer grillés, les deux pieds dans le sable...
La vue de notre bungalow qui nous coutait, quand meme, 17$ par soir.
Ce n'est certainement pas la plus belle plage d'Asie mais elle se prend tres bien. Ce sont principalement des Cambodgiens qui la frequentent, ca fait du sens, ce qui en fait une plage tres animée et surtout tres colorée.
Il y a le jaune éclatant des éternels "pyjamas" de plage...
... le rose de celui de la vendeuse de fruits verts...
... et, on n'y échappe pas, l'orange des tuniques de moines!!!
Ben oui, meme eux profitent du beau temps.
Sur la plage de Bamboo Island on a chacun notre facon de se reposer: Denis regarde passer un bateau de touristes...
... et Eric fait le clown en apnée!
On n'a pas que rien fait durant cette semaine car on s'est tout de meme entendus, ce qui n'est pas peu dire, sur notre prochaine destination: les Philippines!! Puisqu'il est plus économique de prendre l'avion a partir de Bangkok on prend donc le bus pour une autre journée de transport jusqu'a la capitale Thailandaise.
Non, c'est pas une joke: il nous ont fait traverser la riviere debout sur un radeau flottant!!! Malgré ca Eric vous envoie la main en souriant (c'était avant de réaliser qu'il n'y avait pas de ceintures de sauvetage car apres, il ne riait plus).
Pour épargner nos fragiles postérieurs, et certainement parce qu'on a le temps, on coupe la route en faisant un dodo a Trat.
Le lendemain on retrouve avec bonheur l'étourdissante Bangkok qu'on avait déja visitée en 2002.
Mais on y passe en coup de vent seulement, le temps de gouter a nouveau au tumulte de Khao San, la rue des voyageurs, avec son lot de tuk-tuks et de klaxons. Oh et puis on retrouve aussi cette "petite odeur" qu'on avait préférée oublier...